Autour de l’œuvre qui s’élabore progressivement, le quotidien bouillonne d’éclats de rire, de musique, de visites inattendues… Prix du meilleur portrait d’artiste au Festival International du Film sur l’Art de Lausanne. Sélections aux festivals de Clermont-Ferrand, Liège, Lussas, Montréal et Strasbourg.
Vu par la presse
Dernières Nouvelles d’AlsaceDerrière sa caméra, Jean-Baptiste Mathieu est dans l’attente. L’œil flottant, comme on dit, l’écoute flottante, il laisse affleurer ce que d’intuition il sait probablement depuis longtemps sur Bernard Quesniaux, le peintre et ami. Il surprend un regard, filme un silence, une nervosité du corps.
Cet « homme à la renverse », plus qu’un film « sur » la peinture, est l’histoire d’un regard croisé, d’une interrogation mutuelle et réciproque sur la création. Mathieu comme Quesniaux ne sont pas des bavards. Ils avancent dans la vie, masqués d’humour et de dérision. Leur approche est concentrique. Ils parlent autour de ce qu’ils ne peuvent formuler que dans leur œuvre. L’essentiel est indicible, ils le savent, dur et volatil, enfoui et présent, mystérieux et magique. Pour l’atteindre, il faut légèreté et patience.
Cinéaste du non-dit, Jean-Baptiste Mathieu s’est laissé guider par une intuition juste et sensible qui, servie par un montage nerveux, le mène au plus près du processus mystérieux de la création.
— Corinne Ibram Jean-Baptiste Mathieu
L’homme à la renverse
Portrait du peintre Bernard Quesniaux au travail dans son atelier.
Autour de l’œuvre qui s’élabore progressivement, le quotidien bouillonne d’éclats de rire, de musique, de visites inattendues…
Prix du meilleur portrait d’artiste au Festival International du Film sur l’Art de Lausanne.
Sélections aux festivals de Clermont-Ferrand, Liège, Lussas, Montréal et Strasbourg.
Vu par la presse
Dernières Nouvelles d’Alsace
Derrière sa caméra, Jean-Baptiste Mathieu est dans l’attente. L’œil flottant, comme on dit, l’écoute flottante, il laisse affleurer ce que d’intuition il sait probablement depuis longtemps sur Bernard Quesniaux, le peintre et ami. Il surprend un regard, filme un silence, une nervosité du corps.
Cet « homme à la renverse », plus qu’un film « sur » la peinture, est l’histoire d’un regard croisé, d’une interrogation mutuelle et réciproque sur la création. Mathieu comme Quesniaux ne sont pas des bavards. Ils avancent dans la vie, masqués d’humour et de dérision. Leur approche est concentrique. Ils parlent autour de ce qu’ils ne peuvent formuler que dans leur œuvre. L’essentiel est indicible, ils le savent, dur et volatil, enfoui et présent, mystérieux et magique. Pour l’atteindre, il faut légèreté et patience.
Cinéaste du non-dit, Jean-Baptiste Mathieu s’est laissé guider par une intuition juste et sensible qui, servie par un montage nerveux, le mène au plus près du processus mystérieux de la création.
— Corinne Ibram